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Pandémie, Public et Privé.
L’expérience d’ISOMED, et des autres…
Depuis plus d’un an, ISOMED offre son aide au réseau de la santé, en tenant compte de la pertinence et de la qualité de ses installations.
Durant cette période de pandémie, après des mois de discussion, nous n’arrivons toujours pas à conclure une entente avec les gestionnaires du réseau.
Pourtant des travailleurs de la santé des hôpitaux Charles-Le Moyne et du Haut-Richelieu, des chirurgiens chefs, des chirurgiens généraux, des infirmières, des anesthésistes, sont venus visiter nos installations et en ont tout simplement été emballés.
« Vous aurez des nouvelles demain de nos gestionnaires, ou après-demain », nous ont-ils assuré! « Nous voulons débuter au plus tôt ».
Leur enthousiasme ne semble pas avoir eu plus de succès que le nôtre auprès des décideurs.
Les obstacles administratifs semblent insurmontables. Que dire de la piètre qualité des communications avec les représentants des CISSS. Le silence, les délais, les remises de rencontre, semblent être leur meilleur argument.
Les laissés-pour-compte de la covid-19
Cette patiente de 58 ans avait une petite lésion minuscule sur le côté du nez il y a un an et demi. Pas très visible !
Un cancer de la peau alors prouvé par une biopsie. On lui dit qu’il faut qu’on l’enlève… Puis l’attente.
La petite lésion est devenue plus grosse lorsqu’elle nous consulte, un an et demi plus tard! C’est surtout mal placé…
Mais, une image vaut 1000 mots, dit-on. Alors, avec l’autorisation de la patiente, voici son évolution:
Ah ces vilaines cliniques privées d’esthétique!
Ah ces vilaines cliniques privées d’esthétique!